Tu vas te faire plein d'amis, toi.Camuchot a écrit : Voilà une énigme historique qui me semble digne de prendre le relais du stérile débat sur Alésia.

Tu vas te faire plein d'amis, toi.Camuchot a écrit : Voilà une énigme historique qui me semble digne de prendre le relais du stérile débat sur Alésia.
Beuillot a écrit :Tu vas te faire plein d'amis, toi.Camuchot a écrit : Voilà une énigme historique qui me semble digne de prendre le relais du stérile débat sur Alésia.
Tu mérites bien plus que moi ta place sous la coupole, pieradam.Murie a écrit :Eh bien Pierreadam, quelle érudition !![]()
Tu mérites une place sous quelle coupole, toi ? Un plateau à fromages ?Beuillot a écrit :Tu mérites bien plus que moi ta place sous la coupole, pieradam.
Je me permets un petit rappel.lionel a écrit :Tu mérites une place sous quelle coupole, toi ? Un plateau à fromages ?Beuillot a écrit :Tu mérites bien plus que moi ta place sous la coupole, pieradam.
Hé ho, c'était pour de rire ! Je suis un Alésiophile inconditionnel et personne ne peut avoir plus d'amis que moi dans le club vu que je suis d'accord avec toutes les hypothèses, hormis, bien entendu, celle du C****.Beuillot a écrit :Tu vas te faire plein d'amis, toi.Camuchot a écrit : Voilà une énigme historique qui me semble digne de prendre le relais du stérile débat sur Alésia.
Je voudrais ajouter que j'ai vu,une fois qu'une charrette hippomobile passa à travers l'asphalte,le ruisseau en question,le courant allait dans le sens centre ville,rue de Chalezeule,et je certifie ,pour l'avoir de mes yeux vu,ce ruisseau à découvert dans la rue Tristan Bernard (rue Fontaine Argent jusqu"en 1948)sur la partie droite de la chaussée (sens centre ville ,extérieur)depuis le bas de la rue de Chalezeule,jusqu'en bas du chemin de Charigney,on voit encore ce ruisseau,qui chemine chemin de Brulefoin,dans les anciens jardins S.N.C.F,ce sonr d'ailleurs toujours des jardinsCamuchot a écrit :Hé ho, c'était pour de rire ! Je suis un Alésiophile inconditionnel et personne ne peut avoir plus d'amis que moi dans le club vu que je suis d'accord avec toutes les hypothèses, hormis, bien entendu, celle du C****.Beuillot a écrit :Tu vas te faire plein d'amis, toi.Camuchot a écrit : Voilà une énigme historique qui me semble digne de prendre le relais du stérile débat sur Alésia.![]()
Maintenant, la question de la M******** pourrait se révèler comme une des énigmes les plus ténébreuses et les plus excitantes de notre temps !
D'abord les rivières. On ne parlera pas du Doubs dont la présence le long du quartier de la Mouillère n'est pas sérieusement contestée.
Reste LA Mouillère. L'excellent Pieradam, que je salue au passage, la voit passer dans sa rue, l'Avenue de Fontaine Argent, venant de la rue Tristan Bernard et donc des Vaites ou du Château de la Juive.
D'autres pensent qu'elle rassemble plutôt les eaux provenant des hauteurs de Montjoux et de Montrapon.
En fait, elle est souterraine jusqu'au vallon où trône actuellement le Président et rejoint le Doubs à hauteur de la tour de la Pelote après un parcours de 300 m à ciel plus ou moins ouvert.
Y aurait-il ou y aurait-il eu deux Mouillère comme il y a deux Seine/Saine (voir le fil Alésia) ? On se perd en conjectures.![]()
L'hypothèse d'un autre ruisseau alimentant la Brasserie Gangloff alors que celle-ci n'était pas encore établie dans le vallon de la Mouillère résiste-t-elle à l'examen ? Ses eaux auraient alors pu jaillir des douches ascendantes de l'établissement thermal situé précisément entre la gare de la Mouillère et le vallon de la Mouillère.
Mais la « Compagnie des Bains Salins de la Mouillère » créée en 1890 pour construire et gérer les thermes, un casino et un hôtel, n'a pas utilisé une eau locale. Elle est allée la chercher à Miserey-Salines par une conduite de plusieurs kilomètres et, dans les temps plus modernes, par camions citernes.
Au demeurant, on n'imagine pas un brasseur consciencieux mettre sur le marché un breuvage contenant une eau « chorurée sodique forte bromo-iodurée » sans doute propre à soigner « certaines maladies des femmes » comme s'en vante une brochure de l'époque, mais dont le seul débouché se limiterait à un cercle restreint de buveurs pervers.
On voit, par tout ce qui précède, que l'enjeu historique est de taille et que ce débat ne tardera pas à couvrir et dépasser les 92 misérables pages du site dont je tairai le nom afin de ménager la susceptibilité de ses pourvoyeurs.
Quant à ceux qui prétendraient que l'oppidum des Gangloffiens décrit par Jules César Defrasne dans ses Commentaires sur la Guerre des Gogols se situerait au bord du lac Kir, ils n'ont rien à f***** sur ce forum !
Je pense que tu veux dire "dans le sens rue de Chalezeule, centre ville", ou bien ?pieradam a écrit :...,le ruisseau en question,le courant allait dans le sens centre ville,rue de Chalezeule,
3000 pas, malheureux! 3000 pas! Tu vas nous faire décompenser les alésiopathes!Camuchot a écrit : Bon, l'essentiel est qu'il existe et qu'il circule dans une plaine de 3000 pieds.
On ne peut pas moins l'être.Camuchot a écrit : Alors, amis colorés, on est dans le HS ou pas ?
Comme quoi Murie n'a pas à se faire de souci pour la qualité de mon interventionBeuillot a écrit :3000 pas, malheureux! 3000 pas! Tu vas nous faire décompenser les alésiopathes!
Avec beaucoup d'humour,je voudrais ajouter,que moi qui était dessous,je vous assure que je n'ai pas pensé à les compter,C'est quand même pas malin,mais la prochaine fois,j'y penserai !!!!!!Camuchot a écrit :Je pense que tu veux dire "dans le sens rue de Chalezeule, centre ville", ou bien ?pieradam a écrit :...,le ruisseau en question,le courant allait dans le sens centre ville,rue de Chalezeule,
Bon, l'essentiel est qu'il existe et qu'il circule dans une plaine de 3000 pieds.
Ceci dit, pour en revenir à nos Allemands, sans quitter des yeux la(les ?) Mouillère, j'ai fait une bonne moisson d'infos sur Google.
Si l'épisode des militaires allemands tués dans l'abri dont ils auraient viré les civils est exact, il n'a pu avoir lieu que dans la nuit du 15 au 16 juillet 1943.
Cette nuit-là, une flottille de 165 bombardiers Halifax anglais survole la région pour aller détruire les usines Peugeot de Sochaux. Au-dessus de Besançon, un chasseur allemand et un bombardier entrent en collision Les deux avions s'écrasent, l'un sur sur la gare Viotte, l'autre sur le monument aux morts voisin (çà ne s'invente pas !). Une quinzaine de bombardiers lâchent leurs bombes sur le quartier.
Sept impacts sont relevés dans le seul vallon de la Mouillère (Président). Le dépôt des trams est détruit et la Brasserie Gangloff très sérieusement endommagée.
Pourquoi ce bombardement ? On ne se l'explique pas encore très clairement.
Besançon était-il une cible de diversion destinée à attirer la chasse allemande loin de Sochaux ? Y a-t-il eu confusion de la part des Anglais voyant l'incendie de la gare et se croyant au-dessus de Peugeot ?
Toujours est-il que l'usine d'automobiles ne sera que faiblement atteinte par suite d'une erreur d'appréciation due en partie à .... la Brasserie de Sochaux dont les murs fraichement repeints de blanc et éclairés ont attiré les avions au-dessus des habitations voisines causant de nombreuses victimes parmi la population.
Alors, amis colorés, on est dans le HS ou pas ?
Il y a les Allemands, la Mouillère, les brasseries et même le tramway : bon dimanche !
Bien sûr,j'y ai même répondu.Alors,mission accomplieCamuchot a écrit :Content de te retrouver, Pieradam![]()
Tu as eu mon MP ?