B loiseau a écrit :Il me semble au risque de me repèter que soit on a une plaine plus ou moins plate ou un ensemble de colline. Les alpes ne se sont jamais vue décrites comme plaine entrecoupée de montagnes!!!. Et tu oublie de signaler ce que dit César ensuite que lorsque l'armée de secours attaque dans la plaine c a d..."De tous les camps qui de toute part occupaient les crêtes, la vue plongeait, et tous les soldats, le regard attaché sur les combattants, attendaient l’issue de la lutte". Donc on peut conclure définitivement que les soldats ne pouvaient pas être à la fois dans la plaine et regarder ce qu'il s'y passait depuis les hauteurs. A+
Tu mélanges tout.
1 César décrit une plaine entrecoupée de collines (collibus)
2 Les camps dont tu parles, et dont la vue plonge dans la plaine, sont situés sur le JOUG "undique jugum", et pas sur les collines de la plaine
Modifié en dernier par jost le lun. 16 févr. 2009, 16:59, modifié 1 fois.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
B loiseau a écrit :Je crois que l'Alésiopathie est une maladie + grave que ce que pouvais imaginer jusque là ... mais le syndrome le plus commun aux gens atteint de cette terrible affection, est la focalisation obsessionnelle sur un détail, qui curieusement ne fais pas souffrir le sujet lui même, mais provoque la migraine chez ceux qui l'écoute ou le lise .... étonnant non
Peux-tu t'expliquer ?
Car si tu le souhaites, je ferai silence, une fois pour toute.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
Il me semble au risque de me repèter que soit on a une plaine plus ou moins plate ou un ensemble de colline. Les alpes ne se sont jamais vue décrites comme plaine entrecoupée de montagnes!!!. Et tu oublie de signaler ce que dit César ensuite que lorsque l'armée de secours attaque dans la plaine c a d..."De tous les camps qui de toute part occupaient les crêtes, la vue plongeait, et tous les soldats, le regard attaché sur les combattants, attendaient l’issue de la lutte". Donc on peut conclure définitivement que les soldats ne pouvaient pas être à la fois dans la plaine et regarder ce qu'il s'y passait depuis les hauteurs. A+
Je crois que l'Alésiopathie est une maladie + grave que ce que pouvais imaginer jusque là ... mais le syndrome le plus commun aux gens atteint de cette terrible affection, est la focalisation obsessionnelle sur un détail, qui curieusement ne fais pas souffrir le sujet lui même, mais provoque la migraine chez ceux qui l'écoute ou le lise .... étonnant non
Vous ne lisez pas !!!
jost a écrit :Pour bien traduire ce mot, et je l’ai déjà dit sur ce forum, il faudrait considérer la structure même du texte.
De 68-3 « …/Perspecto urbis situ… » à 69-6 « …circuitus XI milia passuum tenebat…/ » César décrit le site. Les mots utilisés pour cette partie du texte suivent cet esprit.
Il serait intéressant qu’Obélix nous édite le nombre de fois que le verbe « pateo. ere » est utilisé dans le BG.
La suite du texte concerne :
• les travaux
• les combats
• le quotidien
• l’arrivée de l’armée de secours gauloise
• le combat final
Et là aussi, en bonne logique césarienne, le mot qui évoque un élément topographique, s’imbrique dans l’esprit de la narration faîte.
C’est ainsi que la plaine est qualifiée par « intermissam collibus » juste avant un combat de cavalerie qui va s’y dérouler. Pour cela est-il important de savoir que la plaine est « intermissam » « mise entre des collines » ou que des collines « intermissam » « sont mises entre » la plaine, ce qui nous donne une plaine vallonnée ?
Je posais une question dont j'attends la réponse
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
B loiseau a écrit :c'est bien ce que je pensais l'Alésiopathie est une maladie incurable
Tu ne devrais pas renvoyer de la sorte... Cela n'apporte rien.
A part cela je me porte à merveille, et je n'ai pas l'impression d'être atteint d'une affection particulière, mes urines sont claires, et mes idées aussi.
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
obelix a écrit :Il y a des maladies plus graves que ça ...
Je crois que je vais bientôt ouvrir quelques vieilles bouteilles :;)et en bonne compagnie, qu'elles meurent de leur belle mort, . ça nous changeras
Histoire de préparer le printemps et les visites sur le terrain.
T'en penses quoi ?
"La vérité est une ligne tracée entre les erreurs."
Je remercie Henri Eschbach pour cette lettre : pour ceux qui ne le posséderait pas encore, je recommande l'achat de ce cahier N° 3 :
l'exposé du comte de Mérona concernant Alise est très intéressant !