Ca chauffe au CHU !
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Besançon: les salariés du CHU craignent une réduction des emplois et des RTT
Quelque 300 salariés du CHU de Besançon ont protesté jeudi contre les "mesures de démantèlement des RTT" et des "suppressions éventuelles d'emplois" annoncées par la direction, a constaté un jounaliste de l'AFP.
A l'appel de l'intersyndicale (CGT,CFDT,FO,UNSA,SUD), près de 300 salariés du CHU de Besançon se sont réunis lors du conseil d'administration.
Les syndicats ont lu un communiqué pour dénoncer "l'annonce par la direction d'instructions conduisant au non remplacement éventuel d'agents" et à la "remise à plat de l'accord 35 heures avec la suppression de tout ou partie des jours RTT".
L'intersyndicale cite la Fédération hospitalière de France (FHF), qui estime à 20.000 le nombre d'emplois menacés en France en 2008, et à 640 les suppressions d'emplois qui seraient nécessaires en Franche-Comté pour revenir à l'équilibre budgétaire, sans dotations complémentaires.
"Tout va dépendre des mesures de redressement budgétaire proposées par le CHU de Besançon pour 2009", a expliqué le directeur de l'ARH (Agence régionale de l'hospitalisation), Patrice Blémont.
Il a réfuté le chiffre de 640 suppressions d'emplois en Franche-Comté et souhaité que la stricte réglementation sur les RTT soit appliquée.
Le CHU de Belfort-Montbéliard est soumis à une réduction de 178 emplois sur 3 ans, comme les Centres hospitaliers de Dole (Jura) et de Lons-le-Saunier qui enregistrent respectivement une diminution de 84 et de 76 emplois, a répondu M. Blémont à l'AFP, précisant qu'il ne s'agissait pas de licenciements mais de postes "non pourvus".
Un préavis de grève a été déposé au CHU de Besançon pour jeudi prochain.
Dépêche AFP, 20/11/2008
Quelque 300 salariés du CHU de Besançon ont protesté jeudi contre les "mesures de démantèlement des RTT" et des "suppressions éventuelles d'emplois" annoncées par la direction, a constaté un jounaliste de l'AFP.
A l'appel de l'intersyndicale (CGT,CFDT,FO,UNSA,SUD), près de 300 salariés du CHU de Besançon se sont réunis lors du conseil d'administration.
Les syndicats ont lu un communiqué pour dénoncer "l'annonce par la direction d'instructions conduisant au non remplacement éventuel d'agents" et à la "remise à plat de l'accord 35 heures avec la suppression de tout ou partie des jours RTT".
L'intersyndicale cite la Fédération hospitalière de France (FHF), qui estime à 20.000 le nombre d'emplois menacés en France en 2008, et à 640 les suppressions d'emplois qui seraient nécessaires en Franche-Comté pour revenir à l'équilibre budgétaire, sans dotations complémentaires.
"Tout va dépendre des mesures de redressement budgétaire proposées par le CHU de Besançon pour 2009", a expliqué le directeur de l'ARH (Agence régionale de l'hospitalisation), Patrice Blémont.
Il a réfuté le chiffre de 640 suppressions d'emplois en Franche-Comté et souhaité que la stricte réglementation sur les RTT soit appliquée.
Le CHU de Belfort-Montbéliard est soumis à une réduction de 178 emplois sur 3 ans, comme les Centres hospitaliers de Dole (Jura) et de Lons-le-Saunier qui enregistrent respectivement une diminution de 84 et de 76 emplois, a répondu M. Blémont à l'AFP, précisant qu'il ne s'agissait pas de licenciements mais de postes "non pourvus".
Un préavis de grève a été déposé au CHU de Besançon pour jeudi prochain.
Dépêche AFP, 20/11/2008
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Re: Ca chauffe au CHU !
Il y a une fac de médecine à Belfort-Montbéliard?doubiste a écrit : Le CHU de Belfort-Montbéliard
Aux urgences du NHC (nouvel hôpital civil) de Strasbourg, des postes d'infirmières et d'aide-soignantes ne sont pas pourvus et la direction prétend que personne ne postule. Des membres du personnel ont appelé la direction des ressources humaines sans se présenter et en prétendant vouloir travailler aux urgences: on leur a répondu qu'il n'y avait pas de poste vacant.
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Tu savais pas ? Je suis tombé des nues y a quelques mois...Beuillot a écrit :Il y a une fac de médecine à Belfort-Montbéliard?doubiste a écrit : Le CHU de Belfort-Montbéliard
A bove ante, ab asino retro, a stulto undique caveto.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Bah non, je tombe du même endroit que toi.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Fermeture du service de chirurgie le 1er février 2009 à Champagnole.
Le service de chirurgie de l’hôpital de Champagnole cessera de fonctionner le 1er février 2009. Il faudra alors se déplacer sur Lons-le-Saunier.
Le service de chirurgie de l’hôpital de Champagnole cessera de fonctionner le 1er février 2009. Il faudra alors se déplacer sur Lons-le-Saunier.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Lors de la migration des trois services publics de cardio de Strasbourg vers le Nouvel Hôpital Civil, 70 lits ont été supprimés. Le calcul s'est fait en se basant sur le taux d'occupation d'août 2007, évidemment le plus bas de l'année. Même pas besoin de faire semblant de ne pas se f... de la g... du monde.
Lundi dernier, aucun lit de soins intensifs (cardio et autres) n'était vacant dans le Barhein. Le service de réa de Saverne a admis 4 patients en 2 heures qui ne relevaient pas de la réa mais des soins intensifs. A part ça, l'ARH veut nous faire fermer deux lits de réa sur dix (tout en précisant qu'il faudrait en fermer plus) parce que nous affichions un taus d'occupation de 75% l'an dernier. Ces gens sont probablement trop bêtes pour comprendre que c'est une moyenne et qu'à certaines périodes, 10 lits sont insuffisants.
Lundi dernier, aucun lit de soins intensifs (cardio et autres) n'était vacant dans le Barhein. Le service de réa de Saverne a admis 4 patients en 2 heures qui ne relevaient pas de la réa mais des soins intensifs. A part ça, l'ARH veut nous faire fermer deux lits de réa sur dix (tout en précisant qu'il faudrait en fermer plus) parce que nous affichions un taus d'occupation de 75% l'an dernier. Ces gens sont probablement trop bêtes pour comprendre que c'est une moyenne et qu'à certaines périodes, 10 lits sont insuffisants.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Il faudrait peut-être faire patienter les patients quand il n'y a pas de lit de libre. Ça permettrait de régulariser les flux.Beuillot a écrit : Ces gens sont probablement trop bêtes pour comprendre que c'est une moyenne et qu'à certaines périodes, 10 lits sont insuffisants.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Surtout en réa.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Mais flûte, y z'ont qu'à prendre rendez-vous, ces pécores !Beuillot a écrit :Surtout en réa.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Sauf que "ces gens" revoient très rapidement leur jugement lorsque l'un de leurs proches n'a pu être admis faute de place... Et c'est du vécu !Beuillot a écrit :Ces gens sont probablement trop bêtes pour comprendre que c'est une moyenne et qu'à certaines périodes, 10 lits sont insuffisants.
Carpe diem
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Re: Ca chauffe au CHU !
Un exemple symptomatique, aux frontières de la .
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Re: Ca chauffe au CHU !
Tu l'as lu, Beuillot ?
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Re: Ca chauffe au CHU !
Nan, mais je sais qu'en gros, ce chantre de l'ultra-libéralisme ne voyait le système de santé français que d'un point de vue financier et qu'il a réalisé ensuite que, loin de jeter l'argent par les fenêtres, ses acteurs se défoncent pour soigner des gens et non des chiffres. Et qu'aux USA, il serait peut-être mort (sauf s'il est riche).Perle39 a écrit :Tu l'as lu, Beuillot ?
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Re: Ca chauffe au CHU !
Montbéliard : situation de crise à l'hôpital
Mardi 6 janvier 2009, l'AMUF, l'Association des médecins urgentistes de France, a fait savoir que, confronté à une insuffisance de lits et de personnel paramédical, l'hôpital de Montbéliard, dans le Doubs, a déclenché le week-end dernier un "mini Plan blanc".
Dans un communiqué, l'AMUF dénonce "une situation de crise à l'hôpital de Montbéliard" depuis trois jours, qui se traduit par "un déficit alarmant de lits d'hospitalisation en médecine et, pour le week-end dernier, en insuffisance de personnel paramédical". Une cellule de crise, composée des représentants administratifs, du chef de service des Urgences et du comité médical de l'établissement, s'est réunie dimanche et lundi et a décidé le "déclenchement du plan hôpital sous-tension", dans le cadre du Plan blanc, a indiqué le docteur Djellouli Smaïn, médecin urgentiste et délégué régional de l'AMUF.
Une absence totale de lits libres en médecine et en réanimation étaient toujours à déplorer mardi matin, a indiqué l'AMUF qui a précisé : "Nous avons une insuffisance chronique de moyens qui s'aggrave, et ce week-end nous avons atteint des records, notamment avec 19 patients qui sont encore à l'heure actuelle hébergés dans les services de chirurgie et de gynécologie, faute de place en médecine".
D'après le communiqué, les urgences ont connu dimanche et lundi, un afflux massif de patients dont le temps d'attente, une fois admis, était "d'au moins cinq heures". Les mesures prises par l'administration hospitalière dans le cadre de ce plan ont, entre autres, permis le rappel de personnel infirmier et la réouverture de lits en chirurgie. Des admissions programmées dans le service de médecine ont été reportées à une date ultérieure et certaines sorties du service ont été accélérées, précise le document.
Source : http://bourgogne-franche-comte.france3.fr
Mardi 6 janvier 2009, l'AMUF, l'Association des médecins urgentistes de France, a fait savoir que, confronté à une insuffisance de lits et de personnel paramédical, l'hôpital de Montbéliard, dans le Doubs, a déclenché le week-end dernier un "mini Plan blanc".
Dans un communiqué, l'AMUF dénonce "une situation de crise à l'hôpital de Montbéliard" depuis trois jours, qui se traduit par "un déficit alarmant de lits d'hospitalisation en médecine et, pour le week-end dernier, en insuffisance de personnel paramédical". Une cellule de crise, composée des représentants administratifs, du chef de service des Urgences et du comité médical de l'établissement, s'est réunie dimanche et lundi et a décidé le "déclenchement du plan hôpital sous-tension", dans le cadre du Plan blanc, a indiqué le docteur Djellouli Smaïn, médecin urgentiste et délégué régional de l'AMUF.
Une absence totale de lits libres en médecine et en réanimation étaient toujours à déplorer mardi matin, a indiqué l'AMUF qui a précisé : "Nous avons une insuffisance chronique de moyens qui s'aggrave, et ce week-end nous avons atteint des records, notamment avec 19 patients qui sont encore à l'heure actuelle hébergés dans les services de chirurgie et de gynécologie, faute de place en médecine".
D'après le communiqué, les urgences ont connu dimanche et lundi, un afflux massif de patients dont le temps d'attente, une fois admis, était "d'au moins cinq heures". Les mesures prises par l'administration hospitalière dans le cadre de ce plan ont, entre autres, permis le rappel de personnel infirmier et la réouverture de lits en chirurgie. Des admissions programmées dans le service de médecine ont été reportées à une date ultérieure et certaines sorties du service ont été accélérées, précise le document.
Source : http://bourgogne-franche-comte.france3.fr
Re: Ca chauffe au CHU !
Il ne fait pas bon passer par le CHBM !
L'an dernier, une infirmière avait fait par erreur une injection létale pas autant médiatisée que celle du petit garçon pendant les fêtes : http://www.lalsace.fr/article/montbelia ... f2488d49a0
L'an dernier, une infirmière avait fait par erreur une injection létale pas autant médiatisée que celle du petit garçon pendant les fêtes : http://www.lalsace.fr/article/montbelia ... f2488d49a0
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Re: Ca chauffe au CHU !
Mardi 06 Janvier 2009, © L'Est Républicain
Du jamais vu à Belfort-Montbéliard
Faute de lits, la direction de l'hôpital demande le report des admissions programmées.
« Il y a quinze ans que je travaille ici, et je n'ai jamais vu ça ». Le Dr Smaïn Djellouli n'en revient pas. Comme ses confrères, il a pris connaissance, avec stupéfaction hier, d'une note de service signée de la directrice des activités médicales. Le document, intitulé « Afflux des malades », demande aux chefs de service et aux cadres de l'hôpital de Belfort-Montbéliard, de « différer toutes les admissions programmées dans les services de médecine qui peuvent être reportées ».
Concrètement, les malades qui avaient rendez-vous ces jours-ci pour des examens ou une consultation non urgente, vont être contactés par téléphone. Il leur sera demandé de venir à une date ultérieure.
La note précise aussi que les chefs de service doivent « accepter la mise en place de deux lits supplémentaires dans tous les services de médecine sur le site de Belfort ». La direction leur conseille enfin « d'effectuer toutes les sorties possibles, et d'être vigilant sur la prise en charge des patients relevant d'une spécialité de médecine et hospitalisés en hébergement dans un service de chirurgie ».
Pour résumer, « l'hôpital vit actuellement une situation de crise », assure le Dr Djellouli, qui est délégué de l'association des médecins urgentistes de France. « L'hôpital ne dispose plus de lits en médecine. Il reste seulement quelques lits en chirurgie et en gynécologie, qui accueilleront des patients de médecine ». Le centre hospitalier est donc sur le point d'afficher « complet », ce qui provoque, on s'en doute, beaucoup d'émoi parmi le personnel soignant, qui tiendra une conférence de presse aujourd'hui.
« A Montbéliard », résume le Dr Djellouli, « 15 lits ont été fermés en juillet. 20 lits doivent ouvrir en longs séjours, mais ils ne sont pas fonctionnels faute de moyens, donc faute de personnel. Cette situation de crise était malheureusement prévisible ».
Article qu'eul Titi m'a envoyé.
Du jamais vu à Belfort-Montbéliard
Faute de lits, la direction de l'hôpital demande le report des admissions programmées.
« Il y a quinze ans que je travaille ici, et je n'ai jamais vu ça ». Le Dr Smaïn Djellouli n'en revient pas. Comme ses confrères, il a pris connaissance, avec stupéfaction hier, d'une note de service signée de la directrice des activités médicales. Le document, intitulé « Afflux des malades », demande aux chefs de service et aux cadres de l'hôpital de Belfort-Montbéliard, de « différer toutes les admissions programmées dans les services de médecine qui peuvent être reportées ».
Concrètement, les malades qui avaient rendez-vous ces jours-ci pour des examens ou une consultation non urgente, vont être contactés par téléphone. Il leur sera demandé de venir à une date ultérieure.
La note précise aussi que les chefs de service doivent « accepter la mise en place de deux lits supplémentaires dans tous les services de médecine sur le site de Belfort ». La direction leur conseille enfin « d'effectuer toutes les sorties possibles, et d'être vigilant sur la prise en charge des patients relevant d'une spécialité de médecine et hospitalisés en hébergement dans un service de chirurgie ».
Pour résumer, « l'hôpital vit actuellement une situation de crise », assure le Dr Djellouli, qui est délégué de l'association des médecins urgentistes de France. « L'hôpital ne dispose plus de lits en médecine. Il reste seulement quelques lits en chirurgie et en gynécologie, qui accueilleront des patients de médecine ». Le centre hospitalier est donc sur le point d'afficher « complet », ce qui provoque, on s'en doute, beaucoup d'émoi parmi le personnel soignant, qui tiendra une conférence de presse aujourd'hui.
« A Montbéliard », résume le Dr Djellouli, « 15 lits ont été fermés en juillet. 20 lits doivent ouvrir en longs séjours, mais ils ne sont pas fonctionnels faute de moyens, donc faute de personnel. Cette situation de crise était malheureusement prévisible ».
Article qu'eul Titi m'a envoyé.
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Re: Ca chauffe au CHU !
J'ai renoncé à comprendre.
Il faut voir que de nouveaux traitements coûteux voient le jour chaque année (j'en utilise régulièrement un en cas d'infarctus du myocarde qui coûte 1000€ l'injection), que les outils diagnostiques se perfectionnent, etc...
Et je crois que c'est aussi bête que ça: les dépenses dépassent chaque année les recettes, donc le déficit se creuse. Je ne connais pas les chiffres, mais il ne me semble pas que l'écart recettes-dépense se majore d'année en année. Ces écarts ne font que s'additionner, d'où un bilan global qui ne fait qu'empirer.
Il faut voir que de nouveaux traitements coûteux voient le jour chaque année (j'en utilise régulièrement un en cas d'infarctus du myocarde qui coûte 1000€ l'injection), que les outils diagnostiques se perfectionnent, etc...
Et je crois que c'est aussi bête que ça: les dépenses dépassent chaque année les recettes, donc le déficit se creuse. Je ne connais pas les chiffres, mais il ne me semble pas que l'écart recettes-dépense se majore d'année en année. Ces écarts ne font que s'additionner, d'où un bilan global qui ne fait qu'empirer.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Pas forcément: ceux qui hier mouraient aujourd'hui guérissent et restent plus longtemps à l'hôpital, reviennent à l'hôpital.Ivy a écrit : Un système de santé plus performant, c'est pas sensé faire qu'il y ait moins de malades dans les hôpitaux ?
Peu de professionnels s'impliquent comme moi pour éviter ces situations fâcheuses.
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Re: Ca chauffe au CHU !
Ah non: c'est mon activité principale.Tino a écrit :Tu évoques ton deuxième métier de tueur en sérieBeuillot a écrit :Peu de professionnels s'impliquent comme moi pour éviter ces situations fâcheuses.
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