Menace de la diversité

[Domi]

mon Beuillot catastrophique!!

Même le Yoyo n'a jamais osé me qualifier de la sorte!

Houp !!! excuse moi !!

[lionel]

Houp !!! excuse moi !!

Ben, pourquoi ? Catastrophique, c'est plutôt gentil, ou bien ?

[peqa]

Moi je n'ai pas vu les oiseaux en moins...désolé
Toutes mes cerises ont été bouffées par les oiseaux le temps que je me retourne. Ils attaquent maintenant les groseilles... C'est "Les oiseaux" d'Hitchkock!
Mais j'accepte de dire que certaines espèces se voient moins. Je pense par exemple aux martin-pécheurs devenus bien rares. En revanche d'autres sont devenues très familières. J'ai un couple de hérons cendrés qui survole ma maison le matin vers l'Ouest, le soir vers l'Est...réguliers comme une pendule!
Au risque de me faire appeler sacripan par la faculté je dirais que les comptages ne sont pas nécessairement fiables. Exemple: j'ai des chauve souris qui habitent dans un coin de ma toiture. En regardant bien j'en comptais 6 ou 7. Un soir d'orage je me suis rendu compte qu'il y en avait beaucoup plus. J'en ai compté ce soir là au moins 12! Mais il y en avait peut être 15? Qui sait?
Il m'est arrivé de voir un vol gigantesque de mouettes (disons plutot des laridés pour faire sérieux) entre la mer (à hauteur de Saint Tropez) et l'intérieur du Var. Renseignement pris auprès du muséum local l'estimation des pros étaient de plusieurs centaines de milliers d'individus.
Pour ma part je crois que les oiseaux se portent plutot bien sur cette planète, sans doute mieux que nous!
Peqa

[Beuillot]

En Alsace aussi, on voit de plus en plus de hérons cendrés (sans parler des cigognes, mais c'est suite à un programme de réintroduction). Mon père, qui sillonnait toute la Comté pour son boulot, me disait qu'il n'en voyait que dans le sud de la région il y a quelques décennies et qu'il a remarqué l'extension progressive vers le nord de leur aire de répartition.

[Domi]

je vous repond rapidement, lorsque que l'on parle d'oiseaux qui disparaissent se sont pas necessairement ceux qu'on voit !!

par exemple les hérons , les cigognes ,les pigeons, et les étourneaux ( ceux qui mangent les cerisse) sont des èspeces qui se porte plutôt bien , parce qu'elle sont proche de l'homme elle profite de l'urbanisation pour au contraire s'épandre.

le probléme c'est pour les autres celle que nous ne voyons pas ou peu , et qu'il faut quand m^me connaitre , leurs disparaisions est lier en grande partie à cause de la disparaision de leur environement !!

et croyez moi m^me en France il y à du souci à ce faire, mais ne vous inquiéter pas les cigognes et les mouettes et goéalnds ne serons aps les derniers à disparaître du moins ceux qui sont commun

[Domi]

L'arnica, une plante médicinale à préserver


À chaque début de l'été, les marguerites jaunes des hautes pâtures du Markstein, à plus de 1 000 mètres d'altitude, sont ramassées pendant une période de deux à trois semaines. Crédit photo : Weleda

Dans un contexte de demande croissante, la conservation de cette plante fait l'objet d'une convention entre les cueilleurs vosgiens et le laboratoire Weleda.

«Avant, il suffisait de se mettre à genoux et on ramassait l'arnica par brassées entières. Il y en a beaucoup moins maintenant», admet René Pierrot. Depuis trente ans, à chaque début de l'été, cet agriculteur souriant et sympathique ramasse les marguerites jaunes des hautes pâtures du Markstein, à plus de 1 000 mètres d'altitude. Il travaille pour le laboratoire Weleda, qui s'est engagé dans la conservation de cette espèce végétale menacée. René Pierrot est un peu la mémoire de cette activité de cueillette saisonnière entièrement dépendante d'une fleur sauvage. Une survivance presque anachronique dans un pays d'agriculture intensive.

La cueillette débute en général à 4 heures et demie du matin, à la lumière des lampes frontales. Elle s'étale sur une période de deux à trois semaines. Chaque cueilleur a un sac attaché à la ceinture. Il détache les plus beaux capitules de leur tige et récolte aussi des plantes entières en ne prélevant qu'une toute petite partie de la racine. Quelques règles simples à respecter : pas plus de deux fleurs au mètre carré et une plante sur trois. «On se dépêche, mais c'est toujours beaucoup d'émotion quand on lève la tête et qu'on voit le soleil se lever sur nos mamelons vosgiens et les Alpes suisses», confie René Pierrot. Le reste de l'année, il cultive des plantes médicinales à Gérardmer (Vosges) avec un associé.

Récolte très matinale

Pour préserver les ressources, Weleda s'est associé avec le groupe d'une quinzaine de cueilleurs, auquel appartient René Pierrot, et qui a signé une convention avec l'Association vosgienne d'économie montagnarde. Weleda leur finance le permis de cueillette délivré par les trois communes propriétaires des pâtures du Markstein (100 € par an) : Fellering, Ranspach et Oderen. Ils s'engagent en retour à assurer la conservation de la plante.

La cueillette est très matinale pour des raisons de logistique. En effet, les fleurs doivent être acheminées dès le milieu de la matinée au laboratoire Weleda basé à Huningue (Haut-Rhin), à 70 kilomètres de là. Après un tri rapide, les fleurs sont mises à macérer. Elles sont ensuite broyées, pressées, décantées et filtrées afin d'obtenir un produit brut qui sert à la fabrication de médicaments ou d'huile de massage.

Depuis l'Antiquité, l'arnica est réputée pour ses vertus contre les contusions, la fatigue et les douleurs musculaires. Plusieurs fédérations sportives utilisent l'huile Weleda pour leurs athlètes en phase de récupération. La demande est en continuelle progression et la production vosgienne ne suffit plus pour répondre à la demande. La culture de l'arnica selon les préceptes de la biodynamie (une forme d'agriculture biologique très élaborée) est actuellement tentée en Allemagne, mais l'opération est difficile car la plante veut un sol acide, pauvre et un climat bien particulier. Récemment, Weleda a aussi lancé la cueillette en Roumanie, en coopération avec WWF.

De l'avis des cueilleurs les plus chevronnés, 2009 n'est pas une bonne année pour l'arnica. Il lui faut beaucoup d'humidité au printemps, or, cette année, on est directement passé de l'hiver à l'été dans l'est de la France.

En plus de la pression de cueillette exercée par la demande des huit laboratoires qui s'approvisionnent sur le massif vosgien, l'arnica est aussi victime des engrais que les éleveurs mettent sur les hautes pâtures pour avoir plus d'herbe. En effet, au bout de deux ou trois ans, l'arnica est étouffée et disparaît. Les pistes de ski réduisent aussi le territoire de l'arnica. Mais c'est sans doute le changement climatique qui fait planer le plus d'incertitudes.

Fondés en 1921 en Suisse, les laboratoires Weleda ont une éthique écologique qui ne date pas d'aujourd'hui. Elle s'inspire des travaux de Rudolf Steiner (1861-1925), fondateur de l'anthroposophie. Une biographie vient de lui être consacrée ("Rudolf Steiner, une biographie", de Gary Lachman, Actes Sud). Loin de toute hagiographie, elle retrace l'itinéraire de ce penseur très original. Les sceptiques ou les simples curieux y trouveront une mine d'informations.

[peqa]

J'en avais deux ou trois plants dans mon jardin (en région parisienne) mais ils ont fini par disparaître. Je ne sais pas où trouver des plants ou des graines? Si quelqu'un a une info, merci
Peqa

[lionel]

Je ne sais pas où trouver des plants ou des graines? Si quelqu'un a une info, merci
Peqa

Là, par exemple (Ai tapé graine arnica sous Gougueule. )

[Pivoine]

J'en avais deux ou trois plants dans mon jardin (en région parisienne) mais ils ont fini par disparaître. Je ne sais pas où trouver des plants ou des graines? Si quelqu'un a une info, merci
Peqa

Si tu veux des graines je peux t'en fournir car ne le répétez surtout pas mais je suis allée surveiller mon champ de pavots. Il n'y a pas que les cheminées qui fument.

[Beuillot]

C'est bien d'être en autarcie et de ne pas soutenir les talibans.

[peqa]

Les pavots de mon jardin sont rouge vif et énormes. Je vais consulter les talibans pour savoir si ça les intéresse
Peqa

[Beuillot]

Les pavots de mon jardin sont rouge vif et énormes.

Des coquelicots, donc.
Le coquelicot n'est qu'une des nombreuses variétés de pavot. En Alsace, on trouve fréquemment du pain aux graines de pavot (pas dans la mie, mais en surface). Ce sont de petites graines noires qui ressemblent à celles de moutarde.

[peqa]

Non c'est un pavot d'Orient à grandes pétales rouges, avec une tache noire vers le coeur
Peqa

[Beuillot]

S'ils sont d'Orient, il serait peut-être intéressant d'inciser les bulbes.

[Sobi]

En Alsace, on trouve fréquemment du pain aux graines de pavot (pas dans la mie, mais en surface). Ce sont de petites graines noires qui ressemblent à celles de moutarde.

En Provence aussi....

[Domi]

La fin de la biodiversité ? Tout le monde s'en fout !



Le dernier rapport de l’UICN, Union Internationale pour la Conservation de la Nature, publié le 2 juillet est accablant: dans le monde, un amphibien sur trois, un oiseau sur huit et un mammifère sur quatre sont menacés de disparition pure et simple.

Et les milliers de scientifiques qui ont participé à l’étude expliquent que faute de moyens ils sont très probablement en dessous de la réalité et que les chiffres «sont considérablement sous-estimés». Le décompte mène au total de 16 928 espèces en voie d’extinction sur les 44 838 qui figurent sur la liste rouge des animaux en danger; décompte qui n’inclut pas les espèces végétales en perdition.
Les études menées également à propos des conséquences du réchauffement climatique sur cette chute accélérée de la biodiversité montrent que la situation ne peut que rapidement empirer, qu’il s’agisse des espèces animales ou des espèces végétales.


Depuis les années 50 du XXéme siècle, 1159 espèces ont disparu ou ne subsistent plus que dans quelques parcs zoologiques. Ce constat de l’allongement démesuré, depuis le dernier rapport il y a quatre ans, de la liste rouge de l’UICN, rappelle que la plupart des pays, y compris l’Europe et la France, ont échoué à freiner une tendance qui avait été constaté en 2002 à la conférence mondiale de Johannesburg qui ne faisait que reprendre les termes de la « Convention internationale sur le biodiversité » adoptée dans l’enthousiasme médiatique à la conférence de Rio en 1992
Encore qu’ « échoué » n’est pas le terme qui convient : en fait la quasi totalité des gouvernements ne se préoccupe absolument pas de la chute de la biodiversité. Le mot orne les discours mais n’entraîne pas de mesures concrètes. Alors que la préservation de cette biodiversité est partout une nécessité scientifique, pharmaceutique, alimentaire, économique et évidemment culturelle.


La Commission européenne n’a jamais réussi à émouvoir les 27 pays de l’Union Européenne alors qu’elle avait fixé comme objectif pour 2010, un renforcement de la biodiversité. Vœu pieux.
Ce manque d’intérêt n’a rien à voir avec la crise économique qui commence aujourd’hui à servir d’excuse commode et amène l’UICN, qui n’est pas précisément un repaire d’écolos extrémistes, à déclarer en tête de son rapport « la crise que traverse la vie sauvage est pire que la crise économique ».



Les Français, et d’autres, s’émeuvent régulièrement de la raréfaction du tigre, de la réduction du nombre d’éléphants en Afrique, de l’orang-outan d’Indonésie ou du gorille des montagnes (il en reste 700) à la frontière du Congo et du Rwanda.
Ils donnent volontiers des leçons de morale écologique à des pays économiquement faibles qui ont d’autres préoccupations urgentes ; alors qu’un pays (encore) riche comme l’Espagne se révèle incapable de préserver ses derniers lynx pardel et que la France peine à faire respecter les lois censées protéger la biodiversité.


Faute de moyens et surtout faute de volonté.

Et il n’y a pas que pour le loup, l’ours, le lynx ou les oiseaux sauvages que les gouvernements français, car la tendance lourde n’est pas nouvelle, laissent la nature à l’abandon, au gré des humeurs des élus locaux, généraux et régionaux.

Tout ce qui reste de la richesse biologique française est saucissonné par les autoroutes inutiles, les déviations, les ronds-points ou les voies express à quatre voies hérissés de hautes clôtures ; comme celle que des élus viennent d’inaugurer sur douze kilomètres entre l’autoroute A 77 et la ville de Gien : l’exemple de ce qu’il ne faut plus faire avait promis le Grenelle de l’Environnement dont les recommandations se sont perdues dans l’espace politique et économique français.
Ce petit morceau de fausse autoroute, comme bien d’autres, coupe en deux un écosystème ordinaire mais riche en espèces définitivement séparées et pour faire bonne mesure, le Conseil général a fait abattre tous les platanes vénérables qui bordaient l’ancienne route ; en vertu du principe bien connu selon lequel les arbres ont la fâcheuse manie de sauter au milieu des routes pour heurter les voitures. L’histoire de ces douze petits kilomètres calamiteux illustre le mépris constant pour la biodiversité : parce qu’il s’agit pour trop d’élus « d’histoires de petits oiseaux » et aussi, surtout, parce qu’au contraire d’une route ou d’un rond point, la préservation de la biodiversité ne s’inaugure pas avec coupage de ruban et photo dans le journal.



Autre illustration du comportement de nombreux élus : la Ligue pour la Protection des Oiseaux, à la suite de nombreux courriers de ses membres scandalisés, est partie hier en guerre contre les trop nombreuses municipalités qui organisent la destruction des nids d’hirondelles et de martinets dans les villes. Parce qu’il parait que ces oiseaux ont l’audace de chier sur quelques murs et quelques trottoirs.
Pas étonnant qu’au cours des dernières années, période qui a vu l’intensification de ces « opérations propreté », les effectifs d’hirondelles aient chuté de 39 %. La LPO rappelle que la destruction d’un nid d’hirondelles est passible d’une amende de 9000 euros et de six mois de prison. Mais quel juge d’une ville de province condamnera son maire pour cette atteinte à la diversité. Surtout s’ils vont à la chasse ensemble...



Si on ajoute à ces agressions ordinaires ou extraordinaires, l’agriculture intensive, la prolifération des urbanisations anarchiques, la pollution et le recalibrage des torrents ou des rivières, l’assèchement des marais, la culture du maïs n’importe où, des chasseurs ou des agriculteurs qui sèment des pièges et de appâts empoisonnés, il est facile de comprendre que les textes et les déclarations de bonne volonté ne font pas une protection.
A quoi sert, par exemple, que la loi protège 32 insectes, dont les superbes papillons Apollon ou Diane, si des dizaines de milliers de tonnes d’insecticides continuent à être épandus sur le territoire?
Comme sur le département de l’Hérault ou un arrêté préfectoral, manifestement illégal, vient d’autoriser l’épandage de produits contre les insectes par avion.


Autre illustration de l’hypocrisie française : le ministère de l’Ecologie se vante régulièrement que la loi protège 55 espèces de mammifères. En omettant de préciser que ce chiffre comprend 34 espèces de chauve-souris. Et que, pour les mammifères comme pour les oiseaux, les tirs illégaux, les naturalisations pour vendre aux touristes sont trop rarement sanctionnés parce que les tribunaux (il s’agit de délits) ont autre chose à faire.



Les scientifiques qui travaillent, souvent de façon bénévole, pour l’UICN sont découragés de protester dans un désert politique et parfois médiatique.
Si les courbes de disparition qu’ils décrivent se prolongent, ils crieront bientôt dans le désert de la planète.

Mais bon, il y a le chômage, les délocalisations, la retraite qui prend un coup de vieux, la sécu qui a le cancer, l’insécurité, l’Irak (très pollué...), les licenciements, la grande misère des banquiers, les gens qui ne partent pas en vacances, alors on ne va pas faire un drame pour des hirondelles qui ne feront bientôt plus le printemps, une tulipe sauvage cueillie trop souvent ou une genette que les offices de tourisme ne peuvent pas montrer aux visiteurs...

Claude-Marie Vadrot -



Source : http://www.mediapart.fr/club/blog/claud ... -s-en-fout

[peqa]

Bonsoir Domi,
J'ai beaucoup hésité avant de rédiger ce message car il me trouble beaucoup.
Lors d'une randonnée en forêt, récemment, j'ai eu l'occasion d'apercevoir un "homo sapiens".
L'espèce "homo" est assez répandue comme tu le sais. Mais la sous espèce "sapiens" se fait plus rare.
Il s'agissait d'un jeune mâle, presque adulte.
Il m'a fait comprendre dans son langage que son espèce était menacée. Des maladies graves et mortelles déciment le troupeau sans qu'il soit possible d'y porter remède. Les clans se battent entre eux pour conquérir et conserver les richesses. La guerre du feu (alimentée par le pétrole) fait rage partout. Certaines tribus disposent de grandes quantités d'armes massives de destruction totale et pourraient bien les utiliser si ce n'est déjà fait. Les plus forts consomment tout au point de rendre misérables et affamés la plus grande partie de la tribu. Les dieux alimentent aussi les querelles, offrant chacun une paix bien meilleure que celle des autres dieux...L'alimentation devient un réel problème car il est devenu quasi interdit de cultiver son jardin. Il faut donc acheter des trucs en boîte, avec des contenus hermétiques du genre E 423bis ter... totalement incompréhensibles et le plus souvent dangereux, parfois mortels à terme si l'on veut bien croire les gazettes.
Cette tribu se déplace partout et de façon incessante au point de provoquer une masse gigantesque de morts le long des routes de loisirs (on me dit 1,2 millions de morts par an) tandis que l'atmosphère se charge des déchets des moteurs, devient irrespirable et va provoquer la mort des survivants de la route.

Toi qui sait tout, Domi, dis moi s'il existe une association qui protège cette espèce "homo sapiens" qui va disparaître rapidement si l'on ne fait rien.
Je protège déjà les fourmis et les papillons, les félins et les poissons, les mamifères et les mollusques, les arbres et les coraux, les légumes et les abeilles... j'aimerais bie protéger aussi cette espèce là...mais les écolos n'en parlent jamais!
A bientôt
Peqa

[Domi]

Bonsoir Domi,
J'ai beaucoup hésité avant de rédiger ce message car il me trouble beaucoup.
Lors d'une randonnée en forêt, récemment, j'ai eu l'occasion d'apercevoir un "homo sapiens".
L'espèce "homo" est assez répandue comme tu le sais. Mais la sous espèce "sapiens" se fait plus rare.
Il s'agissait d'un jeune mâle, presque adulte.
Il m'a fait comprendre dans son langage que son espèce était menacée. Des maladies graves et mortelles déciment le troupeau sans qu'il soit possible d'y porter remède. Les clans se battent entre eux pour conquérir et conserver les richesses. La guerre du feu (alimentée par le pétrole) fait rage partout. Certaines tribus disposent de grandes quantités d'armes massives de destruction totale et pourraient bien les utiliser si ce n'est déjà fait. Les plus forts consomment tout au point de rendre misérables et affamés la plus grande partie de la tribu. Les dieux alimentent aussi les querelles, offrant chacun une paix bien meilleure que celle des autres dieux...L'alimentation devient un réel problème car il est devenu quasi interdit de cultiver son jardin. Il faut donc acheter des trucs en boîte, avec des contenus hermétiques du genre E 423bis ter... totalement incompréhensibles et le plus souvent dangereux, parfois mortels à terme si l'on veut bien croire les gazettes.
Cette tribu se déplace partout et de façon incessante au point de provoquer une masse gigantesque de morts le long des routes de loisirs (on me dit 1,2 millions de morts par an) tandis que l'atmosphère se charge des déchets des moteurs, devient irrespirable et va provoquer la mort des survivants de la route.

Toi qui sait tout, Domi, dis moi s'il existe une association qui protège cette espèce "homo sapiens" qui va disparaître rapidement si l'on ne fait rien.
Je protège déjà les fourmis et les papillons, les félins et les poissons, les mamifères et les mollusques, les arbres et les coraux, les légumes et les abeilles... j'aimerais bie protéger aussi cette espèce là...mais les écolos n'en parlent jamais!
A bientôt
Peqa

Bonjour Peqa;

Tu à très bien fait de me pas hésiter , et ton texte est vraiment beau , Bravo!!

Pour ce qui est « toi qui sait tout »excuse moi loin de là l'idée de tout savoir , et j'en apprend tout les jours, heureusement d'ailleurs!!
Je suis un gars qui n'a pas fait de longues et hautes études, peut être mon enthousiasme pour certains sujets me font défaut ?

Néanmoins si ont réfléchis à t'a question , en protégeant se qui nous entoure c'est nous m^me que nous protégeons , la race humaine.
Je pense pas qu'il faut être un 'écolo' pour le comprendre (d'ailleurs je me revendique d'aucun parti politique qu'il soit vert ou mûrs!) et pour moi l'écologie je l'ai déjà dit je crois c'est la science du vivant , et je ne suis pas un scientifique, mais quelqu'un qui est attacher à la vie sous toutes ses formes , couleurs , diversités.

Le problème pour l'humanité c'est qu'une petite partie de celle ci surexploite les ressources naturelles pour le profit et par égoïsme alors qu'un majorité , meurt de fain de soif et vivent dans une pauvreté extrême
C'est l'état d'esprit qu'il faut changer et là il y à du travail !!

Peqa je sait que tu à de l'expérience , et que tu à vécu cela , plus ou moins , rappelle toi , l'époque de nos grand parents , il vivait en accord avec leur environnement et en là respectant , était il plus malheureux de ne pas posséder le confort que nous avons ? Le superflu que nous avons devrai je dire !

Retourner en arriéré pour beaucoup n'est même pas envisageable, et c'est vrai que le moderne à de bon coter je ne l'oublis pas .

La solution est à mon avis dans le respect , l'amour , la tolérance ,l'altruisme, etc........

Amitiés
Dom

[Pivoine]

Peqa je sait que tu à de l'expérience , et que tu à vécu cela , plus ou moins , rappelle toi , l'époque de nos grand parents , il vivait en accord avec leur environnement et en là respectant , était il plus malheureux de ne pas posséder le confort que nous avons ?

Faudrait poser la question à celles qui allaient laver le linge au lavoir par exemple

[lionel]

Faudrait poser la question à celles qui allaient laver le linge au lavoir par exemple

Et qui mouraient 20 ans plus tôt.