Demyn a écrit :Je me mets hors-jeu pour ceci.
Tu n'aurais pas dû forcément nommer le cours d'eau, riolu, car du coup, il n'y a pas grand chose à chercher...
Ah bon ?
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
Demyn a écrit :
Alors, toutes mes désolés (Copyright beuillotique), je pensais que tu parlais de ce cours d'eau-là, la Furieuse qui coule près de Salins
Je l'attendais; C'est pourquoi mon : AH, bon ?
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.
La Furieuse a un cours d'une vingtaine de kilomètres. Elle prend sa source vers Pont d'Héry et se jette dans la Loue vers Rennes-sur-Loue.
C'est de l'eau de la Furieuse qui était détournée dans les bancs de sels sous Salins-les-Bains pour se charger de cette substance qui était si précieuse avant l'avènement des réfrigérateurs. Remontée par pompage, le sel était récupéré par évaporation dans des bacs chauffés.
Pour des raisons de relief et de déforestation des zones les plus proches, l'approvisionnement en bois de chauffage était devenu difficile dans le vallon de Salins, et c'est pour cela qu'il fut décidé de transporter non plus le bois vers l'eau salée, mais l'eau salée vers le bois. C'est ainsi qu'est né le projet des salines royales d'Arc-et-Senans vers lesquelles l'eau de la furieuse chargée en sel à Salins était transportée par un conduit constitué de troncs de sapins creusés dans le sens de la longueur et emboités bout à bout.
exil26 a écrit :La Furieuse a un cours d'une vingtaine de kilomètres. Elle prend sa source vers Pont d'Héry et se jette dans la Loue vers Rennes-sur-Loue.
C'est de l'eau de la Furieuse qui était détournée dans les bancs de sels sous Salins-les-Bains pour se charger de cette substance qui était si précieuse avant l'avènement des réfrigérateurs. Remontée par pompage, le sel était récupéré par évaporation dans des bacs chauffés.
Pour des raisons de relief et de déforestation des zones les plus proches, l'approvisionnement en bois de chauffage était devenu difficile dans le vallon de Salins, et c'est pour cela qu'il fut décidé de transporter non plus le bois vers l'eau salée, mais l'eau salée vers le bois. C'est ainsi qu'est né le projet des salines royales d'Arc-et-Senans vers lesquelles l'eau de la furieuse chargée en sel à Salins était transportée par un conduit constitué de troncs de sapins creusés dans le sens de la longueur et emboités bout à bout.
Joli! Mais ce n'est pas cette furieuse que j'ai photographiée.
Parler beaucoup est une chose, parler à bon escient en est une autre.
Sophocle.