Coût du maintien des prédateurs
Coût du maintien des prédateurs
Coût du maintien des prédateurs : Gérard Bailly choqué
Le sénateur a été stupéfait de l'importance de ce coût et a demandé au ministre un point précis sur ce montant couvert par des deniers publics.
Chargé par la commission des affaires économiques du Sénat d'établir un rapport sur l'avenir de la filière ovine, Gérard Bailly, président du Conseil général et sénateur du Jura, vient d'effectuer plusieurs déplacements dans les régions françaises où se pratique cet élevage : Alpes maritimes, Pyrénées, Auvergne, Savoie...
En plus de nombreux problèmes des éleveurs ovins et de leur situation bien souvent difficile, tous ont témoigné de leur découragement et de leur désarroi face aux résultats économiques de la production, aggravés par les dégâts catastrophiques causés par les prédateurs (loup, ours, lynx...).
Gérard Bailly a été stupéfait de constater que le maintien ou l'introduction de ces prédateurs avait un coût très conséquent pour les contribuables, auquel il faut ajouter les dommages causés aux élevages, indemnisés qu'en partie. A l'heure où l'on ne parle que de rigueur budgétaire, il trouve paradoxal d'utiliser les deniers publics pour maintenir les prédateurs qui détruisent les élevages plutôt que de s'en servir pour soutenir la filière ovine qui en aurait bien besoin.
Aussi, avant même la parution de son rapport, il a jugé bon d'interroger le ministre du budget par une question orale afin qu'on lui fasse un point exact des deniers publics utilisés pour l'introduction ou le maintien des prédateurs, soulignant aussi que l'élevage ovin, très souvent dernier rempart avant la friche, contribue pour beaucoup au maintien des alpages et du paysage et permet de maintenir une population active en milieu rural.
Il lui a été répondu que la protection ou la restauration de ces espèces répondait aux obligations internationales en faveur de la biodiversité et que l'indemnisation des prédations permettait de compenser les dégâts subis, l'ensemble des dépenses engagées en 2006 s'élevant à 6,3 millions d'euros.
Source : http://www.juragricole.com
Le sénateur a été stupéfait de l'importance de ce coût et a demandé au ministre un point précis sur ce montant couvert par des deniers publics.
Chargé par la commission des affaires économiques du Sénat d'établir un rapport sur l'avenir de la filière ovine, Gérard Bailly, président du Conseil général et sénateur du Jura, vient d'effectuer plusieurs déplacements dans les régions françaises où se pratique cet élevage : Alpes maritimes, Pyrénées, Auvergne, Savoie...
En plus de nombreux problèmes des éleveurs ovins et de leur situation bien souvent difficile, tous ont témoigné de leur découragement et de leur désarroi face aux résultats économiques de la production, aggravés par les dégâts catastrophiques causés par les prédateurs (loup, ours, lynx...).
Gérard Bailly a été stupéfait de constater que le maintien ou l'introduction de ces prédateurs avait un coût très conséquent pour les contribuables, auquel il faut ajouter les dommages causés aux élevages, indemnisés qu'en partie. A l'heure où l'on ne parle que de rigueur budgétaire, il trouve paradoxal d'utiliser les deniers publics pour maintenir les prédateurs qui détruisent les élevages plutôt que de s'en servir pour soutenir la filière ovine qui en aurait bien besoin.
Aussi, avant même la parution de son rapport, il a jugé bon d'interroger le ministre du budget par une question orale afin qu'on lui fasse un point exact des deniers publics utilisés pour l'introduction ou le maintien des prédateurs, soulignant aussi que l'élevage ovin, très souvent dernier rempart avant la friche, contribue pour beaucoup au maintien des alpages et du paysage et permet de maintenir une population active en milieu rural.
Il lui a été répondu que la protection ou la restauration de ces espèces répondait aux obligations internationales en faveur de la biodiversité et que l'indemnisation des prédations permettait de compenser les dégâts subis, l'ensemble des dépenses engagées en 2006 s'élevant à 6,3 millions d'euros.
Source : http://www.juragricole.com
- Domi
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- Enregistré le : mar. 26 sept. 2006, 12:31
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Ben dit dont à écouter certain si la filière ovine et autres à des difficultés c'est à causes de l'argent dépenser pour sauvegardé les « prédateurs naturels »
D'ailleurs je trouve le chiffre assez important !
On devrait plutôt se pencher sur les raisons essentielles des difficultés des éleveurs d'ovins qui date bien avant le retour du Lynx et du loup !
La peur du loup est malheureusement toujours présente !!
D'ailleurs je trouve le chiffre assez important !
On devrait plutôt se pencher sur les raisons essentielles des difficultés des éleveurs d'ovins qui date bien avant le retour du Lynx et du loup !
La peur du loup est malheureusement toujours présente !!
- olif
- Cancoillotte Addict
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Et le coût du maintien des sénateurs et des députés, ils en ont parlé? Et les indemnités qu'on verse à certains pour qu'ils ne servent à rien?
Franchement, je préfère savoir que je contribue à l'équilibre naturel plutôt que d'engraisser des parasites vivant sur le dos de la société!
Olif
Franchement, je préfère savoir que je contribue à l'équilibre naturel plutôt que d'engraisser des parasites vivant sur le dos de la société!
Olif
"- A Chaux, il n'y a que des murets!
- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
- Des murets agricoles?
- Des murets agricoles!"
Ben elle est Redde, celle-là!
"Alesia jacta est"
- Domi
- Cancoillotte Addict
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Pour en revenir à l'argent faut pas oublier que dans ses sois disant prédateurs ils y à tout ces petits 'nuisibles' comme le renard, la fouine, la martre, la belette, l'hermine.........
Et oui c'est brave petites bêtes ont taxé de sanguinaires, ben oui ils mangent quelques poules pour les uns, cerises pour d'autres,
Mais ont oublient de nous dirent qu'elles mangent des milliers de rongeurs, qui nuisent à la productivité des cultures !
Ben ça , les politiques ils oublient de le dire faut dire que ces braves bêtes ; elles ne votent pas !!!!
Et oui c'est brave petites bêtes ont taxé de sanguinaires, ben oui ils mangent quelques poules pour les uns, cerises pour d'autres,
Mais ont oublient de nous dirent qu'elles mangent des milliers de rongeurs, qui nuisent à la productivité des cultures !
Ben ça , les politiques ils oublient de le dire faut dire que ces braves bêtes ; elles ne votent pas !!!!
- Domi
- Cancoillotte Addict
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- Enregistré le : mar. 26 sept. 2006, 12:31
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Que dire des dégâts que vont le gibier sur les cultures voici le budget rien que pour le département de la Manche !!
article de journal ;
Alors ça aussi ça coute de l'argent, sans parler des assurances auto, collision avec du gibiers.......mis bout à bout ça en fait de l'argent !! non
La fédération des chasseurs de la Manche encaisse de plein fouet la hausse des céréales et du maïs. Curieux ? Pas tant que ça !
En effet, ce sont les chasseurs qui indemnisent les agriculteurs lorsqu'un sanglier ravagent une ou plusieurs parcelles.
150 000 euros de budget"
Ce qui nous inquiètent", soulignent de concert Auguste Foulon et Myriam Besson, président de directrice de la fédération des chasseurs, "ce sont les finances que nous allons devoir dégager pour les indemnisations.
Dans cette optique, nous avons augmenté le prix du timbre "grand gibier" de deux euros.
Reste que notre budget "dégâts" se monte à 150 O00 euros en moyenne, incluant les expertises et le personnel affecté à la gestion des dossiers".
"
article de journal ;
Alors ça aussi ça coute de l'argent, sans parler des assurances auto, collision avec du gibiers.......mis bout à bout ça en fait de l'argent !! non
La fédération des chasseurs de la Manche encaisse de plein fouet la hausse des céréales et du maïs. Curieux ? Pas tant que ça !
En effet, ce sont les chasseurs qui indemnisent les agriculteurs lorsqu'un sanglier ravagent une ou plusieurs parcelles.
150 000 euros de budget"
Ce qui nous inquiètent", soulignent de concert Auguste Foulon et Myriam Besson, président de directrice de la fédération des chasseurs, "ce sont les finances que nous allons devoir dégager pour les indemnisations.
Dans cette optique, nous avons augmenté le prix du timbre "grand gibier" de deux euros.
Reste que notre budget "dégâts" se monte à 150 O00 euros en moyenne, incluant les expertises et le personnel affecté à la gestion des dossiers".
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- Beuillot
- Cancoillotte Addict
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- Localisation : Pars collis ad orientem solem :invis: .
Un petit coup pour toi ...
...et un petit coup pour toi .Message original: olif
Et le coût du maintien des sénateurs et des députés, ils en ont parlé? Et les indemnités qu'on verse à certains pour qu'ils ne servent à rien?
Franchement, je préfère savoir que je contribue à l'équilibre naturel plutôt que d'engraisser des parasites vivant sur le dos de la société!
Olif
Message original: angusdels
Surtout qu'il faut qu'ils meurent pour qu'on arrête de les payer !
Si j'y suis t'été, c'est pas pour y rêtre.
Comme ça. Pour rien.
Comme ça. Pour rien.
- Domi
- Cancoillotte Addict
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- Enregistré le : mar. 26 sept. 2006, 12:31
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Justement dite votre opinions sans parler de politique, car je pense que c'est avant tout une volonté personnelle, avant quoiqu'il en soit !
Et je me répète peut être mais ces braves bestioles ne votent pas donc pas grave si ont les extermines, en les traitant de dangereux pour l'économie !
C'est bien connu si ont veut se débarrasser de son chien ont dit qu'il à la rage .......
Et je me répète peut être mais ces braves bestioles ne votent pas donc pas grave si ont les extermines, en les traitant de dangereux pour l'économie !
C'est bien connu si ont veut se débarrasser de son chien ont dit qu'il à la rage .......