Et oui, comme chaque année, il y a le fameux Téléthon... En +, d'être sur France 2, la France se mobilise pour cette occasion!
Voici le programme de Bezac:
*place du 8 septembre:
- casse boites géant (dégommer les boites de conserves...)
- à la force du mollet (maintenir des diodes allumées à la force du mollet...)
- le fil rouge (10 800 ballons pour symboliser une horloge gigantesque...)
- des animations, des ventes, et même 1 grand direct de France 3 : le 8 de 16 à 17h
*site Léo Lagrange:
- pilotage de motgolfières (en double)
- balade en 4X4 (sur terrain privé)
- 1 comédie musicale par l'association "l'essence-ciel" (chant-piano)
- des démos de danses indiennes, salsa, rock, boomerang, unihockey, obéissance canine...
- tournoi de playstation (par l'amicale des arbirtres de fot Doubs sud)
- poker : animation et initiation de 10 à 22h et grands tournois à 10h30
- initiation sportives
- jeux de souffle (avec les étudiants en orthophonie)
- massage relaxant (par les étudiants kiné de Besançon)
- des ventes (de minéraux)
- ouverture non-stop de la piscine Mallarmé
- des matchs : BBCD-Bourg en Bresse et BRC-Belfort
*et aussi:
- la Citadelle à la torche (1 200 personnes avec des torches s'aligneront le long des remparts de la Citadelle pour l'illuminer!)
- souper dans le noir (à l'hôtel Mercure et sur réservation)...
Voilà, tout est dit, tout 1 programme, allez-y nombreux et "à vot' bon coeur, m'sieur, dames"! @+
Murie's edit pour refermer une balise
*** Message édité par Murie le 05/12/2007 09:59 ***
Téléthon -> 7/8 décembre
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Juju du 90
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Thierry39
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LES DEPECHES LE PROGRES
http://www.leprogresfr
Article du vendredi 7 décembre 2007
Jean-Louis Da Costa : « Nous sommes dans la phase d'essais cliniques »
La 21e édition du Téléthon démarre aujourd'hui. Côté animations et bénévoles, la Franche-Comté ne démérite pas face à la mobilisation de lutte contre les maladies génétiques. Le point avec le directeur du développement et du réseau Téléthon, originaire de Poligny
>> Aujourd'hui le Téléthon, c'est quoi ?
C'est une opération qui permet à l'Association française de myopathie de déployer son projet pour trouver un moyen de guérir les maladies neuromusculaires et plus largement les maladies génétiques comme la maladie de Duchenne, de Steiner on compte 6 000 maladies rares dont 200 maladies neuromusculaires. Elles concernent 3 millions de personnes en France, 25 en Europe. L'échelle du handicap est très large, on peut avoir des maladies peu gênantes et d'autres lourdement handicapantes qui conduisent des enfants à nous quitter très tôt.
>> En 2006, vous avez récolté 106 700 000 euros, à quoi a servi cet argent ?
A soutenir trois laboratoires importants qui sont les bras armés du Téléthon. Il y a le Généthon, l'I-Stem où sont étudiées les cellules souches et l'Institut de myologie, lieu de référence pour les maladies neuromusculaires. Ce dernier fonctionne en pluridisciplinarité avec un axe de recherche et en même temps des consultations pour les patients. Avec cet argent, nous finançons environ quatre cents projets scientifiques en France mais aussi des partenariats internationaux. Ainsi nous avons cofinancé un projet avec Milan sur la thérapie génique.
>> La Franche-Comté est-elle une région généreuse ?
C'est une région généreuse, avec un ratio de donateurs par habitants au-dessus de la moyenne nationale ( 39 centimes d'euro) ce qui la place dans les dix premières régions. Le Jura se démarque aussi avec des dons supérieurs à la moyenne nationale, avec 52 centimes d'euros de plus par don. En 2006, la Franche-Comté a réussi récolté 2 272 041 euros. Il y a aussi des initiatives originales, comme à Besançon ville ambassadrice du Téléthon au même titre que douze autres villes en France. Les bénévoles vont se lancer dans la fabrication d'une grande horloge comtoise avec une vente de ballons. L'an passé, il y a eu la fabrication du chalet aux Rousses pour Julie, jeune malade.
>> Depuis 21 ans que le Téléthon existe, où en est-on dans les avancées médicales ?
Au premier Téléthon, on était à la phase de balbutiement de la génétique avec le Généthon. Ensuite, on est passé à la vectorologie, c'est-à-dire qu'on a introduit de petits vecteurs dans le corps malade pour transporter des gènes sains en remplacement des défectueux. Aujourd'hui, nous sommes dans la phase d'essais cliniques.
Trente-cinq essais sur l'homme sont en place, sur une vingtaine de maladies.
Il existe trois types d'essais avec les thérapies géniques des bébés-bulles [les enfants touchés par une grave déficience du système immunitaire et placés dès leur naissance dans un environnement stérile sous la forme d'une bulle plastique], la pharmacologie et la thérapie cellulaire.
>> La polémique des évêques sur l'utilisation de cellules embryonnaires pour la recherche est-elle retombée ?
Écoutez, on a eu une réaction importante d'un certain nombre de prélats.
Je préfère ne pas faire de commentaires pour ne pas relancer la polémique.
>> Comment s'annoncent les 30 heures à venir ?
Nous accréditons encore des animations, la participation des bénévoles est difficile à estimer. En 2006, nous avons répertorié 22 000 animations avec plus de 100 000 bénévoles sur l'ensemble du territoire. Mais nous avons un écho très positif sur le terrain.
Il y a un tel dynamisme associatif. Je suis toujours étonné de voir combien les mairies et les associations ont préparé cette édition depuis un an et pensent déjà au prochain Téléthon.
>> Cette année, le slogan est « La maladie, je la regarde droit dans les yeux et je ne
baisserai pas le regard ». Pourquoi ?
Parce que le combat de notre association est porté par des personnes directement touchées par la maladie, ou dont les familles touchées de plein fouet.
Depuis la création de l'AMF en 1958, nous défendons le pouvoir des malades pour être les acteurs premiers de leur guérison. C'est une façon de souligner leur courage.
>> Quand on parle de e-mobilisation, de quoi s'agit-il ?
Elle concerne l'ensemble de la communauté internet, allant des spécialistes aux débutants. C'est un outil interactif de participation via le site du Téléthon ou en relayant l'opération sur des sites personnels.
Cette année, on a créé le relay2doo, une sorte de blog qui permet de mobiliser l'ensemble de son carnet d'adresses.
Propos recueillis
par Marilyne Gautronneau
Article du vendredi 7 décembre 2007
Où va l'argent du Téléthon ?
Sur 100 euros collectés à l'occasion du Téléthon, 8,50 euros sont consacrés aux frais de collecte ; 7,20 euros aux frais de gestion ; et 84,3 aux missions sociales.
Parmi les missions fixées par l'Association française contre les myopathies (AFM), les missions sur les recherches sont les plus connues. D'autres comme l'innovation technologique en matière de communication en faveur des malades, le sont moins. De même, un peu partout en France, des techniciens sont financés par l'AFM pour récupérer, réparer et mettre à disposition des fauteuils à destination des familles dans le besoin.
Pour mémoire, l'an dernier, pour le seul secteur Jura Sud, près de 199 000 euros ont été collectés. Le prix d'un fauteuil à lui seul, peut atteindre 27 000 euros.
http://www.leprogresfr
Article du vendredi 7 décembre 2007
Jean-Louis Da Costa : « Nous sommes dans la phase d'essais cliniques »
La 21e édition du Téléthon démarre aujourd'hui. Côté animations et bénévoles, la Franche-Comté ne démérite pas face à la mobilisation de lutte contre les maladies génétiques. Le point avec le directeur du développement et du réseau Téléthon, originaire de Poligny
>> Aujourd'hui le Téléthon, c'est quoi ?
C'est une opération qui permet à l'Association française de myopathie de déployer son projet pour trouver un moyen de guérir les maladies neuromusculaires et plus largement les maladies génétiques comme la maladie de Duchenne, de Steiner on compte 6 000 maladies rares dont 200 maladies neuromusculaires. Elles concernent 3 millions de personnes en France, 25 en Europe. L'échelle du handicap est très large, on peut avoir des maladies peu gênantes et d'autres lourdement handicapantes qui conduisent des enfants à nous quitter très tôt.
>> En 2006, vous avez récolté 106 700 000 euros, à quoi a servi cet argent ?
A soutenir trois laboratoires importants qui sont les bras armés du Téléthon. Il y a le Généthon, l'I-Stem où sont étudiées les cellules souches et l'Institut de myologie, lieu de référence pour les maladies neuromusculaires. Ce dernier fonctionne en pluridisciplinarité avec un axe de recherche et en même temps des consultations pour les patients. Avec cet argent, nous finançons environ quatre cents projets scientifiques en France mais aussi des partenariats internationaux. Ainsi nous avons cofinancé un projet avec Milan sur la thérapie génique.
>> La Franche-Comté est-elle une région généreuse ?
C'est une région généreuse, avec un ratio de donateurs par habitants au-dessus de la moyenne nationale ( 39 centimes d'euro) ce qui la place dans les dix premières régions. Le Jura se démarque aussi avec des dons supérieurs à la moyenne nationale, avec 52 centimes d'euros de plus par don. En 2006, la Franche-Comté a réussi récolté 2 272 041 euros. Il y a aussi des initiatives originales, comme à Besançon ville ambassadrice du Téléthon au même titre que douze autres villes en France. Les bénévoles vont se lancer dans la fabrication d'une grande horloge comtoise avec une vente de ballons. L'an passé, il y a eu la fabrication du chalet aux Rousses pour Julie, jeune malade.
>> Depuis 21 ans que le Téléthon existe, où en est-on dans les avancées médicales ?
Au premier Téléthon, on était à la phase de balbutiement de la génétique avec le Généthon. Ensuite, on est passé à la vectorologie, c'est-à-dire qu'on a introduit de petits vecteurs dans le corps malade pour transporter des gènes sains en remplacement des défectueux. Aujourd'hui, nous sommes dans la phase d'essais cliniques.
Trente-cinq essais sur l'homme sont en place, sur une vingtaine de maladies.
Il existe trois types d'essais avec les thérapies géniques des bébés-bulles [les enfants touchés par une grave déficience du système immunitaire et placés dès leur naissance dans un environnement stérile sous la forme d'une bulle plastique], la pharmacologie et la thérapie cellulaire.
>> La polémique des évêques sur l'utilisation de cellules embryonnaires pour la recherche est-elle retombée ?
Écoutez, on a eu une réaction importante d'un certain nombre de prélats.
Je préfère ne pas faire de commentaires pour ne pas relancer la polémique.
>> Comment s'annoncent les 30 heures à venir ?
Nous accréditons encore des animations, la participation des bénévoles est difficile à estimer. En 2006, nous avons répertorié 22 000 animations avec plus de 100 000 bénévoles sur l'ensemble du territoire. Mais nous avons un écho très positif sur le terrain.
Il y a un tel dynamisme associatif. Je suis toujours étonné de voir combien les mairies et les associations ont préparé cette édition depuis un an et pensent déjà au prochain Téléthon.
>> Cette année, le slogan est « La maladie, je la regarde droit dans les yeux et je ne
baisserai pas le regard ». Pourquoi ?
Parce que le combat de notre association est porté par des personnes directement touchées par la maladie, ou dont les familles touchées de plein fouet.
Depuis la création de l'AMF en 1958, nous défendons le pouvoir des malades pour être les acteurs premiers de leur guérison. C'est une façon de souligner leur courage.
>> Quand on parle de e-mobilisation, de quoi s'agit-il ?
Elle concerne l'ensemble de la communauté internet, allant des spécialistes aux débutants. C'est un outil interactif de participation via le site du Téléthon ou en relayant l'opération sur des sites personnels.
Cette année, on a créé le relay2doo, une sorte de blog qui permet de mobiliser l'ensemble de son carnet d'adresses.
Propos recueillis
par Marilyne Gautronneau
Article du vendredi 7 décembre 2007
Où va l'argent du Téléthon ?
Sur 100 euros collectés à l'occasion du Téléthon, 8,50 euros sont consacrés aux frais de collecte ; 7,20 euros aux frais de gestion ; et 84,3 aux missions sociales.
Parmi les missions fixées par l'Association française contre les myopathies (AFM), les missions sur les recherches sont les plus connues. D'autres comme l'innovation technologique en matière de communication en faveur des malades, le sont moins. De même, un peu partout en France, des techniciens sont financés par l'AFM pour récupérer, réparer et mettre à disposition des fauteuils à destination des familles dans le besoin.
Pour mémoire, l'an dernier, pour le seul secteur Jura Sud, près de 199 000 euros ont été collectés. Le prix d'un fauteuil à lui seul, peut atteindre 27 000 euros.
Tu m'prends t'y pour un idiot, de pas m'être renseigné là-d'ssus ? Un litre de vin chaque midi qu'on a droit ! et la chopine le soir !
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Domi
- Cancoillotte Addict
- Messages : 8052
- Enregistré le : mar. 26 sept. 2006, 12:31
- Localisation : SPM
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Pour ceux que ça intéresse voici le prog d'ici
http://www.cheznoo.net/portaildata/vivr ... _even=7n68
venez nombreux
http://www.cheznoo.net/portaildata/vivr ... _even=7n68
venez nombreux
